(Attention : extrême violence)
Par un matin normal, la sonnerie de mon réveil sonne. Je me lève en regardant l’heure et je réalise que je suis en retard. Je me dépêche de partir. C’est alors que sur le trottoir, je vois une fille étendue. Elle a à peu près 6 ans. À sa droite, horreur! il y a une araignée monstrueuse avec 8 pattes velues, 8 gros yeux rouges, de grands crocs acérés et des griffes. Elle semble prête à tuer quiconque se trouvera sur son chemin. L’un des crocs de l’araignée laisse couler un genre de venin. Le croc perce le cou de la fille et celle-ci arrête de bouger. L’araignée prend une de ses pattes, transperce le corps de la fillette et en sort le cœur pour le dévorer. J’aurais bien voulu agir pour sauver la petite fille, ou prendre mes jambes à mon cou, mais mes pieds étaient comme dans le béton et ils ne voulaient pas bouger. C’est alors que l’araignée se tourna vers moi.
C’est ce qui me dégela. Je commence à courir comme un fou. À cause de ses 8 pattes, elle va beaucoup plus vite que moi et je n’ai pas assez d’énergie pour continuer à cause de ce satané réveille-matin qui m’a réveillé sans que je sois en pleine forme. Au moment où elle s’apprête à me rattraper, je lance ma gomme à mâcher que j’avais dans ma bouche sur ses gros yeux et, pendant qu’elle est distraite, je m’engouffre dans la station du métro Laurier.
Caché dans un coin et terriblement essoufflé, j’essaie d’appeler ma mère avec mon cellulaire. Trop de gens essaient de téléphoner en même temps; le réseau est bloqué. Que vais-je faire si je ne peux appeler personne, ni même mon prof, mon héros? Je me retourne et c’est alors que l’araignée se jette sur moi.
Ses gros yeux rouges sont à quelques centimètres des miens. Elle m’injecte du venin anesthésiant, et je m’engourdis. J’étais si proche de m’en sortir et de survivre! Personne ne viendra plus sauver. Une de ses griffes me tranche la gorge et se met à me découper en rondelles. Elle met les morceaux dans mon crâne vidé et elle mélange. Comme pour une salade avec une vinaigrette, elle touille en sifflotant une chanson italienne.
Drrrrrrriiiiiiinnnnngggggg! C’est alors que mon réveille-matin sonne. « Quoi? Ce n’était qu’un cauchemar? Hourah! Je suis vivant! Mes amis m’auraient tellement manqué. » En baissant les yeux, je vois l’heure, et je vois que je suis en retard. « Ah! non! Mon prof va vraiment m’engueuler. Ça c’est un vrai cauchemar! »
J’aime l’histoire surtout au début car ça dit (Attention : extrême violence) et ça a piqué ma curiosité. Heureusement, ce n’est pas si violent que ça 😀 . Je dirais plutôt que c’est sarcastique. Pour ma part, je n’aime pas du tout les araignées monstrueuses avec 8 pattes velues, 8 gros yeux rouges, de grands crocs acérés et des griffes. Elle semble prête à tuer quiconque se trouvera sur son chemin. Ouache!!!
Au début on pense tout de suite que tu vas mourir mais non ! C’est comme ça que tu arrives à nous captiver.
Ton histoire est super! Ce que j’aime le plus c’est quand l’araignée sifflote une chanson Italienne c’est tellement drôle! Car je n’imaginerais pas une araignée faire cela.
J’ai adoré la fin qui débute comme dans son cauchemar.
J’ai adoré ton histoire!
Qui aurait cru que l’araignée est une chanteuse-fin gourmet italienne?
Quel cauchemar complètement farfelu! Tu m’as bien fait rigoler.
Bravo Ikea!
J’ai beaucoup aimé la partie où elle chante une chanson italienne.
Quel suspense palpitant! Tu m’as tenue en haleine durant tout le récit.
Dans ce drame d’horreur, tes touches d’humour sont très opportunes pour alléger l’atmosphère sans perdre l’attention du lecteur. Bien joué!
Ta conclusion surprend et on est bien heureux d’apprendre qu’il s’agissait d’un cauchemar!
Bravo Ikea!
Je ne comprends pas pourquoi ton héros n’est pas ton papa! Lui qui est si fort!
Trooooooop bien.